Côte d'ivoire : l'ordre "règne" à abidjan !!!

Alassane Ouattara, président auto proclamé de Côte d'ivoire et le président Français sarkozy




La période 2000 - 2011 de l’histoire de la Côte d’Ivoire deviendra un cas d’école édifiant pour les futurs politologues africains.

En 2000, Laurent Gbagbo arrive au pouvoir en battant le général Gueï, auteur du coup d’État qui chassa Bédié fin 1999. En 2002, une rébellion puissamment armée éclate.
Gbagbo est alors absent mais son ministre de l’Intérieur, Émile Boga Doudou, est assassiné. L’armée ivoirienne résiste à Abidjan et déloge les rebelles. Alassane Ouattara, se trouvant en danger, est exfiltré par l’armée française stationnée sur la base de Port-Bouet. Toute la partie nord du pays reste aux mains de divers chefs qui font régner leur loi par les armes, en lieu et place de l’État de droit.

En 2003, la France, par les accords de Marcoussis, essaie d’imposer la participation des rebelles au gouvernement de Côte d’ivoire à des postes clés. En vain. La France met en place l’opération Licorne dès 2002. L’ONU crée, en 2004, le contingent de l’ONUCI. En 2004, l’effort de réunification tenté par l’armée ivoirienne échoue avec l’étrange affaire de Bouaké, sur les circonstances de laquelle Michèle Alliot-Marie, alors ministre des Armées, refusera obstinément plus tard de lâcher la moindre information. C’est toutefois le prétexte pour un assaut de l’armée française, qui tire sur les manifestants à Abidjan. Par la suite, pressions et négociations amènent Laurent Gbagbo à prendre Guillaume Soro, chef de la rébellion, comme Premier ministre en 2007.

Les accords de Ouagadougou sont censés permettre l’organisation d’une élection présidentielle mais leurs dispositions ne seront jamais appliquées dans le Nord de la Côte d’Ivoire, qui reste sous le contrôle des armes des chefs de guerre.
L’élection a enfin lieu, en novembre 2010, immédiatement suivie d’un contentieux sur les conditions de son déroulement et sur les résultats. Ce contentieux est balayé par la France, l’ONU, les États-Unis, qui se lancent dans une guerre contre Laurent Gbagbo.
L’ONU compte les victimes, qui atteindront quelques centaines en quatre mois, tandis qu’un « commando invisible », commandé par Ibrahim Coulibaly, dit IB, ancien chef de la rébellion, supplanté par Soro en 2004, se retranche dans le quartier d’Abobo à Abidjan et harcèle les forces de défense fidèles à Gbagbo.Lire la suite ICI
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Causonspolitique traite surtout de la crise Post électorale Ivoirienne. De 2000 à nos jours,nous revisiterons toutes les étapes qui ont inexorablement conduit la Cote d'Ivoire à cette situation.
 
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